Que d'ennuit en ces lieux

Dans la forêt qui bordait le repère des membres de la lune rouge, se trouvait une jeune femme à la chevelure couleur saphir. Celle ci ne savait que faire de sa journée étant donner qu'on ne lui avait pas assigner de mission, ce qui la rendait un peu irritable. Sans compter que, tous les autres avaient quelques chose à faire sauf elle. Durant toute la matinée elle s'était entraîner pour peaufiner son maniement de l'origami, mais ça ne prit pas plus que cela car, ses techniques étaient déjà à leurs paroxysme. Ayant marre de rester debout s'en savoir quoi faire de ses dix doigts, elle se laissa aller en, se posant au pied d'un arbre. Le calme régné en ces lieux, ce qui accentuait le sentiment d'ennui de la Kunoichi. Seul les oiseaux se faisaient entendre, occuper à se faire la cour. Le bruit de leur piaillements, sonna agressivement aux oreilles de l'origamienne. Ne sachant comment faire passé le temps, qui lui paressait si long, elle ferma les yeux s'en sans rendre compte. La brise légère qui côtoya son visage, provoqua un léger frisson, détendant ainsi le corps de la jeune femme. Pendant un temps, elle resta consciente, entendant les bruits alentours, puis, peu à peu, s'enlisa dans les profondeurs de son subconscient. La jeune femme se trouvait à présent sur un rocher au milieu de l'eau. Tout autour, de l'eau à perte de vue. La kunoichi ne sût que pensé de tout cela et chercha dans sa mémoire une réponse au pourquoi du comment. Bien sur vous allez me dire qu'elle pourrait bien nager, et la réponse et oui mais le problème et non de moindre c'est qu'une poignet de requins faisaient des rondes autour du rocher. La perspective de finir en bouchée ne réjouissais pas la jeune femme. Il y avait bien la possibilité de marcher sur l'eau comme tout bon shinobi qui se respect, mais là encore le soucis, c'était que, deux mètres passent encore, mais plusieurs kilomètres, s'était tout bonnement impossible à accomplir. La typesse se senti soudain bien vulnérable. Elle se rendit compte qu'elle n'avait jamais fait face à un problème de cette ordre ci. Dans les pires situations, elle s'était toujours retrouvée avec Pain, sauf lorsque ses parents se sont fait tuer. Elle se trouva alors minable plantée là, au milieu de vautour des mers. Sans pouvoir se retenir, elle colla ses mains contre son visage et pleura.

" Si Pain me voyait, il se moquerait bien de moi. Je ne suis vraiment pas digne de le suivre."

Ne trouvant pas d'autres moyens de s'extirper de ce pétrin, la Kunoichi eu l'irrésistible envie de s'abandonner à la mer. Ce fut comme ci le font de cette étendue d'eau produisait son attraction comme jamais. C'est alors qu'elle bascula en arrière, la tête lourde et les yeux embrumés. A l'instant où, sa peau aurait dût prendre contacte avec l'eau, elle fut surprise de constater qu'il n'y avait rien. Elle ouvrit alors grand les yeux, elle entendit des oiseaux batifoler non loin d'elle, ainsi que les branches des arbres se mouvoir à cause du vent. Elle regarda à droite, à gauche et vit avec soulagement qu'elle était dans la forêt. Elle se souvint alors qu'elle avait rêver, juste rêver.

Reprenant peu à peu ses esprits, la kunoichi de l'Aube se mit sur ses deux jambes et épousseta son manteau symbolisant son appartenance à l'Akatsuki. L'effet du frottement que provoquer les mains de la typesse, fit aborder les résidus terreux, qui étaient sur son habit vers ses narines. Elle eu immédiatement l'envie de pencher sa tête en arrière et mis sa mains droite
devant sa bouche pour éternuer. Elle s'empara ensuite d'un mouchoir au font de la poche de son pantalon et s'essuya. Le vent, qui quelques temps plus tôt ne faisait pas des siennes, se mit à exhaler à un rythme plus frénétique. Le ciel s'assombrit sans que la jeune femme ne s'en rende compte. Une effluve d'ondée se fit ressentir, avant que les toutes première gouttes côtoyant ce qui exister sur terre se fassent sentir . Il ne fallut pas longtemps pour que ce qui n'était qu'une simple care, ne devienne une drache, inondant la forêt de son liquide froid. Konan avait bien l'habitude de cet état naturel que beaucoup n'apprécier pas. Que beaucoup rechigner à accepter, accepter de comprendre que sans la pluie, le soleil ne serait à nos yeux qu'une simple émanation dont l'utilité n'aurait pas encore était démontré. Tout comme sans le mal ne peu subsister le bien, tout comme sans la laideur, on ne saurait définir le beau. La kunoichi garda au contraire un stoïcisme implacable et dirigea ses pas en direction du village
qui l'avait vue naître.